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Ashwagandha

L’ashwagandha est l’une des plantes dites « adaptogènes » les plus connues en médecine ayurvédique, la médecine traditionnelle indienne. Découvrez à travers cet article ses multiples propriétés santé et où acheter de l’ashwagandha bio. Sachez toutefois que les informations suivantes sont des résumés d’études cliniques, et ne pourront donc pas substituer aux conseils d’un médecin.

L’ashwagandha, la plante de la vitalité

ashwagandha

Plante médicinale puissante, utilisée depuis plus de 3 000 longues années en ayurvéda, l’ashwagandha fait encore partie des remèdes naturels les plus recommandés pour traiter de nombreuses maladies aujourd’hui. Cette médication est surtout célèbre pour ses propriétés toniques et aphrodisiaques.

Grâce aux expérimentations menées par les scientifiques, il a aussi été révélé que cette plante est un excellent immunostimulant, analgésique, neuroprotecteur, et peut être employée pour venir à bout de diverses maladies telles que le diabète, le cancer, les troubles cardiovasculaires et bien d’autres encore.

Présentation de l’ashwagandha

Ashwagandha ou Whitania somnifera, source de la puissance, la force et de la vitalité
Ashwagandha ou Withania somnifera, source de la puissance, la force et de la vitalité

L’ashwagandha répond au nom scientifique de Withania somnifera et appartient à la lignée des solanacées. Cet arbuste originaire d’Inde, porte plusieurs noms, tels que ginseng indien en raison de ses propriétés médicinales proches de celles du ginseng panax ; roi d’Ayurveda, coqueret somnifère, winter cherry littéralement traduit en français par cerisier d’hiver, ou encore poison gooseberry et groseille empoisonnée (1)(2). Le terme ashwagandha signifierait « odeur de cheval ». Ses premiers utilisateurs l’auraient baptisé ainsi pour deux raisons : sa senteur particulière rappelant l’odeur que dégage un cheval et son pouvoir unique de donner la force et la virilité de cet animal (3).

Côté description, l’ashwagandha est un arbrisseau de petite taille, ne s’élevant que de 35 à 75 cm de haut. Cette plante se distingue de ses congénères par son feuillage ovale d’une longueur de 10 à 12 cm, avec la face inférieure hispide. Ses petites fleurs blanches sont réunies en glomérule axillaire, et ses fruits se présentent sous forme de baies pisiformes de couleur rouge. Cette plante médicinale puise surtout ses pouvoirs médicinaux dans ses racines, riches en substances actives puissantes. Dans l’univers de la phytothérapie, c’est cet organe de la plante qui est séché et réduit en poudre, et est utilisé pour extraire ses principaux principes actifs.

Principaux composants de la plante

L’ashwagandha renferme certaines propriétés fortement concentrées, dont :

Racines d’ashwagandha, concentrées de principes actifs
Racines d’ashwagandha, concentrées de principes actifs

– lactones stéroïdales, telles que la withaferine A qui est connue pour sa large activité pharmacologique (cardioprotectrice, immunomodulatrice, anti-inflammatoire, anti-métastase, anti-angiogenèse) (4), les sitoindosides VII à X et les glycowithanolides.

– alcaloïdes, des molécules organiques à base azotée qui ont une activité apaisante lorsqu’elles sont à faibles doses et peuvent souvent dévoiler une toxicité aiguë sous forme purifiée. Ces composés chimiques portent une terminaison en « -ine » à la fin de leurs noms, à l’instar de withanine, somniferine, tropine, anaferine et d’andanahydrine.

– flavonoïdes à effet antioxydant, tels que le kaempférol et la catéchine.

– acides phénoliques qui sont aussi des piégeurs de radicaux libres, comme l’acide gallique, l’acide vanillique, l’acide benzoïque et l’acide coumarique ou acide hydroxycinnamique.

– ainsi que des acides gras qui sont des excellentes sources d’énergie pour l’organisme, tels que l’acide palmitique, l’acide oléique, l’acide linoléique et l’acide linolénique.

Voici donc les principales substances actives de l’ashwagandha, présentées de manière détaillée (5)(6)(7) :

Withanine, lactone stéroïdale : 5.54+/-0.4 mg/g dans les racines séchées et 18.42+/-0.8mg/g dans les feuilles séchées.

27-deoxywithanone : 1.63+/-0.2 mg/g et 3.94+/-0.4 mg/g dans les feuilles et racines fraiches.

27-hydroxywithanone : 0.50+/-0.1 mg/g dans les feuilles et racines séchées.

Withaferine A : 22.31+/-1 mg/g dans les feuilles séchées et 0.92+/-0.4mg/g dans les racines séchées.

Des séries de withanolide A, B et D : 3.88+/-0.7 mg/g dans les racines et 2.11+/-0.5 mg/g dans les feuilles.

Et des séries de withanoside : 0.44+/-0.1 mg/g dans les racines séchées et 1.60+/-0.2 mg/g dans les feuilles séchées.

Baies d’ashwagandha, riche en kaempférol et catéchine
Baies d’ashwagandha, riche en kaempférol et catéchine

Kaempférol : 0.06mg/g uniquement dans les baies séchées.

Catéchine : 28.38 mg/g dans les feuilles séchées, 19.48 mg/g dans les fruits, et 12.82 mg/g dans les racines.

On y trouve également de l’acide :

gallique : 0.18 mg/g uniquement dans les feuilles séchées.

syringique : 0.30 mg/g dans les feuilles.

coumarique : 0.80 mg/g dans les feuilles.

vanillique : 0.15 mg/g dans les feuilles séchées.

benzoïque : 0.80 mg/g dans les feuilles.

palmitique : 3.55+/-0.5 mg/g dans les feuilles séchées et 1.18+/-0.2 mg/g dans les racines séchées.

oléique : 0.71+/-0.1 mg/g dans les feuilles séchées et 0.39+/-0.1 mg/g dans les racines séchées.

linoléique ou oméga-6 : 1.52+/-0.2 mg/g dans les feuilles séchées et 1.32+/-0.2 mg/g dans les racines séchées.

linolénique : 4.38+/-0.5 mg/g dans les feuilles séchées et 0.15+/-0.1 mg/g dans les racines séchées.

Ashwagandha : quelles sont ses propriétés thérapeutiques ?

Dans la médecine ayurvédique, l’ashwagandha est considéré comme « Rasayana » grâce à sa propriété adaptogène, qualifié également de « Bhalya » en raison de sa capacité à augmenter le tonus, et de « Vajikara » pour sa qualité aphrodisiaque (8).

Qu’en pensent les scientifiques de leurs côtés ? Cette partie présente les études notables menées sur cette plante médicinale.

Une plante capable de ralentir le développement d’un cancer ?

Diverses expériences réalisées sur l’ashwagandha ont permis aux scientifiques de remarquer que la withaferine A contenue dans sa composition était capable de contrecarrer l’activité d’une protéine de 56kDA au niveau des cellules eucaryotes (9). Il s’agit en réalité de la vimentine, qui n’est autre qu’un membre de la famille des filaments intermédiaires. Leurs rôles consistent à assurer la flexibilité des cellules et le maintien de la forme cellulaire, la stabilité des interactions cytosquelettiques, la guérison des plaies ainsi que le transport des lipoprotéines de basse densité ou LDL.

Cependant, chez les sujets atteints de cancer, la présence de cette protéine en quantité considérable favoriserait le développement des cellules cancéreuses et la métastase (10). Dans une expérience in vivo, l’injection d’une dose de withaferine A de 4 mg/kg chez des souris souffrant du cancer du sein a entrainé la phosphorylation de la sérine 56 au niveau de la vimentine. En se liant à cette protéine, cette molécule l’induit à sa dégradation, limitant ainsi les risques de métastase et d’angiogenèse. (11)

Ce principe actif de l’ashwagandha semble également inhiber les fonctions du protéasome dans les cellules (12). Cette inhibition protéasomique a été confirmée lors d’une injection par voie intrapéritonéale, d’une dose de cette substance de 4-8 mg/kg, chez des souris ayant des tumeurs. Résultats, le développement des cellules tumorales a été bloqué à 54-70 % (13). Plus d’essais cliniques sur des humains sont essentiels pour confirmer l’efficacité de cette molécule à cet égard. Comme la plupart de ces observations ont été menées sur des modèles animaux, nous ne pouvons pas valider que le principe actif de cette plante est réellement efficace dans le traitement d’un cancer chez l’homme.

Un remède pour améliorer la longévité ?

Il est aussi connu que les composants actifs de l’ashwagandha, dont le withanone sont capables de réduire le taux de P21WAF1 au niveau des cellules de fibroblastes normales (TG1, WI38, et MRC5). Lors d’une expérience, une dose de withanone de 2.5ug/mL chez les sujets testés a conduit à une baisse du P21WAF1 et entrainé une hausse de la durée de vie des cellules de 20 % (14). Cette molécule semble retarder le processus de vieillissement des cellules, lorsqu’elle est utilisée à des concentrations raisonnables. Ce n’est pas tout, il a été aussi remarqué une diminution importante des dommages moléculaires. Pour le moment, nous ne pouvons pas conclure sur la capacité de ces principes actifs à prolonger la durée de vie des cellules. Cet effet doit être encore confirmé chez l’homme dans des études à plus grande echelle.

Doté de la capacité à diminuer l’activité de l’acétylcholinestérase ?

Une observation scientifique a révélé qu’une injection de mélange de withanolide A et de sitoindosides extraits d’ashwagandha, dosé à 40 mg/kg, influe sur l’acétylcholinestérase. Une légère augmentation de son activité a été notée au niveau des régions latérales du septum et du globus pallidus du cerveau. En revanche, une diminution de son activité a été constatée dans le noyau antérieur du cerveau (15).

Chez les rats, l’usage d’extrait de la racine de cette plante médicinale à une dose de 100 mg/kg a entrainé une baisse de l’activité de l’acétylcholinestérase d’environ 10 % par rapport au témoin utilisé (16). Le withanolide s’avère également avoir un effet anticholinestérasique, mais la concentration requise pour atteindre un tel résultat est très élevée. L’administration devrait, par ailleurs, s’effectuer par voie orale, ce qui peut augmenter les risques d’intoxication et de surdosage. Jusque-là, les expériences ont été menées uniquement sur des rongeurs. Nous ne savons donc pas si ces molécules auront les mêmes bienfaits chez l’homme.

Rappelons au passage que les inhibiteurs de l’enzyme acétylcholinestérase, tout comme ces molécules, sont utilisés dans la médecine pour le traitement du glaucome, de la myasthénie ou de la maladie d’Alzheimer par exemple, et peuvent également servir d’anesthésie.

Influer les récepteurs GABA A ?

Des expérimentations scientifiques ont permis de constater que l’ashwagandha peut agir sur les récepteurs GABA de type A (GABA A), qui sont des canaux ioniques des membranes des neurones. Pour rappel, ces derniers s’activent par fixation de l’acide GABA (gamma-aminobutyrique), qui est le principal neurotransmetteur inhibiteur du cerveau. Les canaux ioniques GABA A sont les cibles de diverses molécules pharmacologiques à effet anesthésique, à la manière des benzodiazépines, anesthésies, hypnotiques, barbituriques et même des alcools.

Pour vérifier l’action de l’ashwagandha, une dose de 5 μg d’extrait méthanolique d’ashwagandha et 100 à 200 mg/kg de cette plante ont été administrés chez des souris de laboratoire ayant pris du diazépam. Une augmentation du signal GABA A a été notée. L’ashwagandha a empêché les GABA de se lier au GABA A, en inhibant son activité. Une dose de 5 μg d’extrait d’ashwagandha a causé une inhibition de 20 %, et 1 mg de 100 %. La plante a facilité l’accès du diazépam vers sa cible (17). Des propriétés médicinales intéressantes qui nécessitent toutefois encore plus d’études cliniques sur l’homme. Ces essais menés sur des modèles animaux ne suffisent pas pour émettre une conclusion pour le moment.

Un effet protecteur vis-à-vis des neurones ?

Des expériences ont démontré la capacité des withanolides et des sitoindosides VII-X contenus dans l’ashwagandha à favoriser la production de glutathion peroxydase, de superoxyde dismutase (SOD) et de catalase au niveau du striatum et du cortex cérébral des rats de laboratoire ayant pris ces substances par voie orale (18).

Le glutathion peroxydase, la catalase et les superoxydes dismustases ne sont autres que des enzymes antioxydantes, qui assurent des rôles des plus importants dans l’organisme, tels que la protection des neurones, la réduction des effets néfastes du stress oxydatif, et la prévention des lésions des membranes cellulaires. Malheureusement, leurs niveaux déclinent au fil des années ; ce qui entraine l’accumulation des dommages oxydatifs et radicalaires, et l’augmentation des risques de contracter des maladies dégénératives.

Les expériences ont montré que l’ashwagandha peut aider à stimuler la production de ces enzymes antioxydantes. Une dose de 10-20 mg/kg de ses extraits offre les mêmes effets qu’une dose de Deprenyl de 2 mg/kg, médicament pour le traitement de la maladie de Parkinson (19). Il nous faut d’autres essais cliniques menés sur l’homme avant de pouvoir confirmer ce bienfait. Toutes les études ont été en effet conduites sur des animaux de laboratoires. Ce qui ne nous permet pas de conclure sur son effet neuroprotecteur pour le moment.

Apte à réduire les effets du stress et soulager l’anxiété ?

Une autre qualité de l’ashwagandha reconnue scientifiquement est sa capacité à réduire les effets et la perception du stress, en agissant comme un adaptogène (20). Utilisée chez des patients souffrant de stress chronique, la dose d’ashwagandha d’environ 300 mg par jour a conduit à une baisse significative de leur stress. Les résultats ont révélé un taux d’amélioration de 44 %, contre seulement 5,5 % chez ceux qui ont pris des placebos (21).

Sa faculté à soulager l’anxiété a également été prouvée lors de cette expérimentation effectuée sur des rats de laboratoire. Une dose de 20 à 50 mg/kg de glucosides, avec du toluène à une teneur s’élevant à 1.13 % du poids sec de la racine d’ashwagandha, présente les mêmes effets qu’une dose de 500 μg/kg de Lorazépam (benzodiazépine) utilisé pour calmer l’anxiété (22). Les résultats de ces études ont été prometteurs, mais il est encore tôt pour conclure sur la propriété anxiolytique de cette plante médicinale. Nous avons besoin de plus preuves scientifiques.

Un effet protecteur des tissus cardiaques ?

La supplémentation d’extrait d’ashwagandha à une dose moyenne journalière de 50 mg/kg chez des rats (soit l’équivalent de 8 mg/kg chez les humains), ayant des problèmes cardiaques, a permis de préserver efficacement les tissus du cœur et réduire les risques de nécrose (23). Les quelques essais cliniques conduits sur des modèles animaux ne sont pas toutefois suffisants pour conclure ici que cette plante médicinale possède réellement cet effet protecteur.

Un allié pour réduire le taux de glycémie ?

Utilisé chez des rats souffrant de diabète, induit par l’administration de streptozotocine, l’extrait des racines d’ashwagandha d’une dose de 200 à 400 mg/kg a entrainé une baisse non négligeable du taux de glycémie sanguin. Une diminution de l’activité glucose-6-phosphatase a également été observée au niveau de leur foie (24). Le manque d’études sur l’homme ne nous permet pas toutefois de confirmer cet effet sur le taux de glycémie.

Efficace pour améliorer la libido ?

L’ashwagandha est souvent employé comme aphrodisiaque du fait de sa propriété adaptogène, en réduisant le stress qui peut entrainer des dysfonctions sexuelles, tels que frigidité chez les femmes et les troubles érectiles chez les hommes. Une étude a montré que l’usage modéré des extraits de cette plante chez des rats mâles (25-50 mg/kg pendant 21 jours) a augmenté leur activité sexuelle et réduit leur stress (25). Malheureusement, les études cliniques sur l’homme manquent encore pour certifier ce bienfait. Il faut d’autres essais cliniques de plus grande envergure avant d’émettre une véritable conclusion.

Une dose trop élevée en revanche (de l’ordre de 3g/kg) a plutôt conduit à une baisse de la libido chez les sujets testés. Ceci s’explique notamment par l’effet sédatif de cette plante, lorsqu’elle est prise en quantité trop élevée (26).

Existe-t-il un danger lié à la prise d’ashwagandha ?

Il est aussi important de souligner que comme l’ashwagandha augmente l’activité du GABA, un neurotransmetteur inhibiteur qui peut altérer les fonctions cérébrales lorsque son activité est trop importante, en diminuant les facultés motrices et intellectuelles, et en augmentant le temps de réflexe.

À haute dose, l’ashwagandha peut donc être dangereux pour la conduite par exemple. Il est préférable de ne pas dépasser la posologie et de le consommer le soir avant de dormir. Sinon il n’existe pas de danger particulier le concernant. En cas de doute, n’hésitez pas à demander l’avis d’un spécialiste.

Où acheter le meilleur ashwagandha bio ?

Vous trouverez sur internet ou en magasin diététique, énormément de marques proposant de l’ashwagandha bio. Cependant, nous vous conseillons de bien faire attention à l’étiquetage si vous recherchez l’efficacité. Il faut opter pour une marque qui réunit à la fois le côté biologique au niveau de la culture, et à la fois une standardisation de ses principes actifs. Autrement dit nous conseillons les extraits secs d’ashwagandha bio ayant été concentrés en withanolides.

À ce jour, il existe deux leaders sur le marché des fabricants ayant des effets santé validés cliniquement :

Sensoril : un extrait titré à 10% en principes actifs

La marque Sensoril du laboratoire américain Natreon Inc. est titrée à plus de 10% en withanolides. C’est à ce jour la concentration la plus élevée.

Pour comparaison, un complément classique d’c n’en contient qu’entre 1.5 et 3%, et encore ces valeurs ne sont pas garanties. Autrement dit il est 8X plus dosé et concentré que les autres extraits.

Le problème principal pour celui-ci selon nous est les additifs qu’il contient et le fait qu’il n’existe pas en qualité bio.

KSM-66 : un extrait d’ashwagandha bio concentrée

L’extrait KSM-66 est fabriqué par l’entreprise indienne Natreon, Inc. Il s’agit à ce jour du seul ashwagandha bio titré à 5% en withanolides et bénéficiant de la certification biologique européenne. En qualité bio c’est très clairement le plus concentré du marché.

Autre avantage : ils utilisent une extraction « full spectrum », c’est-à-dire que les proportions des principes actifs sont toutes conservées dans les bons ratios naturels de la plante.

Retrouvez toutes nos recommandations en matière d’achat de l’ashwagandha dans notre Guide pour bien choisir son ashwagandha bio.

Ashwagandha bio guide

Posologie de l’ashwagandha

Si vous choisissez Sensoril : la dose idéale recommandée d’après le fabricant serait de 450mg d’ashwagandha Sensoril par jour, correspondant à 45mg de withanolides.

Dans le cas où vous choisissez KSM-66 : prendre une ou deux gélules de 600mg par jour

Il est possible d’obtenir ce même dosage en prenant de l’ashwagandha bio classique, mais si la teneur en withanolides n’est pas indiquée, alors gardez en tête qu’elle en contient en moyenne seulement 2%.

Références :

(1) « Withania somnifera(L.) Dunal ». PROTA (Plant Resources of Tropical Africa / Ressources végétales de l’Afrique tropicale). Wageningen, Netherlands: Gurib-Fakim A. and Schmelzer G. H. Retrieved2012-08-07.
(2) « Withania somnifera(L.) Dunal ». Germplasm Resources Information Network – (GRIN). Beltsville, Maryland : USDA, ARS, National Genetic Resources Program. National Germplasm Resources Laboratory. Retrieved 2011-10-29.
(3) Chandrasekhar K, Kapoor J, Anishetty SA prospective, randomized double-blind, placebo-controlled study of safety and efficacy of a high-concentration full-spectrum extract of ashwagandha root in reducing stress and anxiety in adults.Indian J Psychol Med. (2012).
(4) Mohan, R; Hammers, HJ; Bargagna-Mohan, P; Zhan, XH; Herbstritt, CJ; Ruiz, A; Zhang, L; Hanson, AD; et al. (2004). « Withaferin A is a potent inhibitor of angiogenesis ». Angiogenesis.7(2): 115–122.
(5) Chatterjee S, et al. Comprehensive metabolic fingerprinting of Withania somnifera leaf and root extracts. Phytochemistry. (2010).
(6) Namdeo AG, et al. Metabolic characterization of Withania somnifera from different regions of India using NMR spectroscopy. Planta Med. (2011).
(7) Alam N, et al. High catechin concentrations detected in Withania somnifera (ashwagandha) by high performance liquid chromatography analysis.BMC Complement Altern Med. (2011).
(8) Baliga MS, et al. Rasayana Drugs From the Ayurvedic System of Medicine as Possible Radioprotective Agents in Cancer Treatment.Integr Cancer Ther. (2013).
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(10) Van Beijnum JR, et al. Gene expression of tumor angiogenesis dissected: specific targeting of colon cancer angiogenic vasculature. Blood. (2006).
(11) Thaiparambil JT,et al. Withaferin A inhibits breast cancer invasion and metastasis at sub-cytotoxic doses by inducing vimentin disassembly and serine 56 phosphorylation. Int JCancer. (2011).
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(16) Schliebs R,et al. Systemic administration of defined extracts from Withania somnifera (Indian Ginseng) and Shilajit differentially affects cholinergic but not glutamatergic and GABAergic markers in rat brain.Neurochem Int. (1997).
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(18) Naidu PS, Singh A, Kulkarni SK. Effect of Withania somnifera rootextract on haloperidol-induced orofacial dyskinesia: possible mechanisms of action. J Med Food. (2003).
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