La vitamine C (acide ascorbique) est notamment célèbre pour son pouvoir antioxydant et sa capacité à booster le système immunitaire. Possède-t-elle d’autres propriétés médicinales ? Que disent les scientifiques à propos de cette vitamine ? Cet article dévoile les caractéristiques de cette vitamine et ses bienfaits sur l’organisme d’après la science. Ce simple résumé d’études ne peut pas remplacer l’avis d’un professionnel de santé.
La vitamine C est une des substances vitales à l’organisme, essentielles en petite quantité pour assurer le bon déroulement de ses différentes fonctions et l’équilibre même de la vie. C’est la raison pour laquelle, elle est classée dans la liste des « vitamines ». Le corps humain n’est pas, en effet, capable d’en synthétiser. On doit donc la puiser dans les aliments. Ses bienfaits santé sont multiples, dont le plus connu est son action antioxydante. Découvrons alors ce que disent les scientifiques à son sujet.
Sommaire
Présentation de la vitamine C
Structure physique et chimique
« Vitamine C » est la désignation offerte à l’un des 4 isomères de l’acide ascorbique, à savoir son dextrogyre acide L-(+)-ascorbique. Ce composé est le seul habilité à porter cette dénomination. En effet, les pouvoirs vitaminiques de l’acide D-(-)ascorbique ne sont pas assez importants pour pouvoir revêtir ce titre. Le terme « ascorbique », de son côté, est tiré du mot « scorbut » ou la maladie liée à la carence en cette vitamine, ajouté de préfixe « a– », qui veut dire « sans ».
Il s’agit d’un diacide, autrement dit un acide capable de libérer deux ions H+ en milieu aqueux. Sa structure chimique comprend deux atomes de carbone asymétrique. Ce qui explique pourquoi cette molécule possède deux paires d’énantiomères, dont la première est connue sous le nom d’acide ascorbique et la seconde acide érythrobique ou isoascorbique.
Les sels d’acide ascorbique, dits ascorbates, à l’instar de l’ascorbate de calcium et l’ascorbate de sodium, possèdent les mêmes propriétés physiologiques que celles de cette vitamine, et portent également ce nom.
Sa formule chimique brute est C6 H8 O6 et sa masse molaire 176,12 g/mol.
Ses rôles biologiques
Cette vitamine joue de nombreux rôles au sein de l’organisme. Elle :
– participe au métabolisme du fer, en facilitant son absorption ;
– est essentielle à la production de collagène et de globules rouges ;
– assure une importante fonction dans le système immunitaire (1) ;
– lutte contre les méfaits des radicaux libres, en étant un antioxydant ;
– peut éliminer une panoplie de dérivés réactifs de l’oxygène, en étant un agent réducteur ;
– agit comme un cofacteur enzymatique, en intervenant dans divers processus physiologiques notamment dans les réactions d’hydroxylation. Ceci s’explique par sa faculté à ajouter à d’autres molécules un groupement hydroxyle ;
– passe à travers la barrière hémato-encéphalique pour atteindre le cerveau, lorsqu’elle est sous forme oxydée.
Ses lieux de concentration dans l’organisme sont les globules blancs, les glandes surrénales, l’hypophyse et le cerveau, ainsi que le cristallin.
Les meilleures sources
Les autorités sanitaires européennes suggèrent un apport d’environ 75 mg par jour de cette vitamine aux femmes, et 90 mg aux hommes. Cette quantité peut être puisée facilement dans les aliments que nous consommons au quotidien. Les besoins de certaines personnes (fumeurs, …) doivent être cependant plus importants, 125 mg par jour ou plus.
Voici les principales sources de vitamine C. Chaque portion de 100 g comprend les doses suivantes :
– Murunga, ou prune de Kadaku, 3 000 mg ;
– Camu-camu, ou Myrciara dubia, 2 400 à 3 000 mg ;
– Acérola, 1 600 mg ;
– Ditax, ou Detarium senegalense, 1 000 – 1 200 mg ;
– Cynorrhodon, ou baie d’églantier, 1 250 mg ;
– Amla, 445 mg ;
– Argousier, 400 mg ;
– Ortie, 333 mg ;
– Fruit du baobab, appelé pain de singe, 250 mg ;
– Goyave, 228 mg ;
– Cassis, 200 mg ;
– et enfin persil, 190 mg.
Quels sont les symptômes d’une carence ?
La carence en vitamine C se traduit par divers symptômes, tels que fatigabilité, amaigrissement, pâleur, mal de tête, sensibilité aux infections et douleurs osseuses. Ces derniers se manifestent notamment, lorsque l’apport journalier est inférieur à 10 mg par jour.
Dans des cas plus graves, le sujet risque de développer un scorbut. Cette maladie se produit après une carence absolue en cette vitamine, pendant plus de trois mois et que le taux d’acide absorbique sanguin, est de moins de 2 mg/L. Cette pathologie est reconnaissable à ces signes, à savoir gingivite, déchaussement des dents, syndrome hémorragique, troubles cutanés, amaigrissement, ainsi que douleurs musculaires et articulaires. Dans la phase terminale de cette maladie, ces symptômes s’aggravent et le sujet souffre de cachexie, puis meurt d’épuisement. (2)
Quels sont les effets d’un surdosage ?
Les problèmes de surdosage ne se produisent que lorsque cette vitamine est consommée en très grande quantité dans une durée trop courte. Prise sur une longue période et même à des doses un peu plus élevées que celles suggérées, cette substance ne cause aucun effet indésirable majeur. En réalité, l’organisme stocke ce dont il a besoin et élimine l’excès dans les selles.
Les données rapportées par les publications scientifiques à ce sujet sont un peu contradictoires. Si certaines ont avancé que les hautes doses favoriseraient les calculs rénaux (3), d’autres ont prouvé le contraire (4). Les effets indésirables les plus fréquemment rencontrés sont les céphalées, la diarrhée, l’asthénie, les vomissements et les éruptions cutanées.
Quelles sont les propriétés médicinales de la vitamine C ?
La vitamine C est reconnue scientifiquement capable de venir à bout de nombreuses maladies. D’ailleurs, c’est une molécule couramment employée en automédication. Une part importante de la population mondiale a recours à ce complément alimentaire, pour booster l’immunité.
Cette vitamine a-t-elle un effet tonique ?
L’usage de cette vitamine en tant que tonique est déjà très courant. Nombreux sont ceux qui en prend pour renforcer l’organisme en cas de fatigue, augmenter les défenses immunitaires lors d’une infection ou encore pour prévenir les maladies saisonnières. Les scientifiques ont confirmé tous ces bienfaits.
Cette revue datant de 2013, par exemple, a parlé de l’effet positif de ce composé chez des obèses soumis à un régime hypocalorique. On recommande la restriction énergétique pour favoriser la perte de poids, mais celle-ci peut cependant fatiguer considérablement l’organisme.
Pendant 4 semaines, l’échantillon de 20 adultes obèses testé a reçu soit 500 mg de cette vitamine comme supplément à son alimentation, soit des placebos. Les observateurs n’ont remarqué aucun changement au niveau de l’humeur, de la force physique et de la fréquence cardiaque lors des efforts, chez le groupe soumis à la vitamine C. Les deux groupes ont perdu tous deux en moyenne 4 kg, mais des sensations de fatigue importantes ont été toutefois constatées chez le groupe placebo. (5)
A-t-elle des actions contre le rhume ?
La prise de cette vitamine pour prévenir et traiter le rhume est un sujet très conversé depuis plus de 60 ans. Si certains scientifiques avancent l’efficacité de ce composé, d’autres tendent à démontrer son incapacité à prévenir cette maladie saisonnière.
Des chercheurs ont donc essayé de vérifier si cette molécule a une réelle efficacité sur la durée et la gravité du rhume, lorsqu’elle est utilisée en prévention, traitement ou après l’apparition des symptômes. Cette méta-analyse a rapporté que la plupart des essais qui ont donné des résultats positifs, sont ceux qui ont utilisé des doses élevées de ce composé à plus de 4 g par jour. À une dose moyenne de 8 g par jour prise au début des symptômes, la vitamine C a pu réduire la sévérité et la durée du rhume, en jouant un rôle dans les mécanismes de défenses de l’appareil respiratoire. (6)
Possède-t-elle un pouvoir anticancéreux ?
Le pouvoir antioxydant de la vitamine C est très connu. Nombreuses sont les publications scientifiques qui ont rapporté sa faculté à inhiber l’activité des radicaux libres. Cependant, il est encore trop tôt pour dire si cette molécule possède réellement un pouvoir anticancéreux. Les expériences fiables menées sur l’Homme manquent encore, il faudra donc confirmer. Par contre, utilisée sur des modèles animaux, celle-ci a pu inhiber la prolifération des cellules malades, mais à des quantités fortement élevées. (7)
Un article écrit par Linus Pauling et son équipe en 1976 a parlé de l’action positive de la vitamine chez une centaine de patients atteints de cancer, en phase terminale.
L’administration par voie intraveineuse de cette molécule a permis de prolonger la vie de ces sujets. Ces scientifiques ont souligné que leur espérance de vie a été 4 fois plus importante, que celle des sujets témoins n’ayant reçu que des placebos. Cette étude a été fortement critiquée, du fait que les patients traités à l’acide ascorbique ont été déclarés en phase terminale plus tôt que le groupe témoin. Dans d’autres expériences, la molécule a eu un effet positif, mais toutefois pas très concluant ; tel qu’améliorer l’action d’une radiothérapie. (8)
Pour être efficace sur les cellules cancéreuses, cette vitamine doit être administrée par voie intraveineuse, et ce à forte dose. Certains scientifiques avancent l’adoption d’une dose très élevée, allant de 10 à 100 g par jour (9). Cet effet anticancéreux reste donc encore à démontrer. Des études plus approfondies chez l’homme sont essentielles avant de pouvoir le confirmer.
Est-ce une solution préventive contre la DMLA ?
La majorité des scientifiques sont unanimes quant à l’efficacité des antioxydants contre la progression de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et la perte de la vue. En se basant sur cette hypothèse, des chercheurs ont essayé de vérifier si l’acide ascorbique pourrait avoir des effets bénéfiques sur les maladies oculaires dues au vieillissement.
Au cours de cet essai clinique, on a réparti au hasard en quatre groupe des volontaires âgés de 55 à 80 ans. Le premier a reçu 500 mg de vitamine C ajoutés de 400 UI de vitamine E et 15 mg de bêta-carotène ; le second 80 mg d’oxyde de zinc et 2 mg d’oxyde de cuivre ; le troisième ces vitamines avec le zinc et le quatrième des placebos. Le nombre total des individus testés était de 3 640, dont seulement 2,4 % d’entre eux ont perdu la vue à la fin du traitement d’une durée de 6 ans et demi.
Les résultats de cet essai clinique ont montré que la vitamine C couplée à d’autres vitamines et au zinc a ralenti la progression de la DMLA de stade non encore avancé. Les scientifiques ont remarqué que les symptômes du groupe 3 ne se sont pas aggravés, contrairement à ceux du groupe placebo (10). Cette capacité à prévenir la DMLA et à ralentir la progression de cette pathologie doit être encore vérifiée dans d’autres études avant de pouvoir la confirmer.
Permet-elle de se protéger contre l’intoxication au plomb ?
Des anciennes études scientifiques ont mentionné la capacité de l’acide ascorbique à chélater certains métaux lourds, tels que le plomb chez des modèles animaux. En se basant sur cette hypothèse, des scientifiques ont utilisé cette vitamine chez un groupe de jeunes âgés de 6 à 16, adultes de plus de 17 ans dans les années 1988-1994, afin de voir son effet. Au total, on a comptabilisé 4 213 jeunes et 15 365 adultes.
Après les premières analyses sanguines réalisées, seuls 22 jeunes (0,5 %) et 57 adultes (0,4 %) ont présenté une plombémie élevée. Leurs taux de plomb ont été largement supérieurs par rapport au niveau normal défini. Ces individus ont reçu tous les jours une certaine quantité de vitamine C.
Les divers contrôles ont permis de constater que le taux d’élimination de plomb était en fonction de la dose de vitamine prise. Les dosages élevés, de 1 000 mg par jour, étaient plus efficaces que les moins importants, d’environ 200 mg (11). Le manque d’études observationnelles ne permet pas pour le moment de confirmer la réelle efficacité de cette vitamine sur cette forme d’intoxication. Il nous faut plus de preuves scientifiques avant de conclure sur cet effet chélate.
A-t-elle des bienfaits contre la goutte ?
En se basant sur le fait que la vitamine C est apte à réduire le taux sérique d’acide urique, des chercheurs l’ont utilisé pour voir si sa consommation peut réduire les risques de goutte. De 1986 à 2006, 46 994 participants de sexe masculin ont reçu régulièrement des suppléments d’acide ascorbique. La quantité totale consommée tous les ans a été évaluée et puis comparée avec le taux d’acide urique.
Les résultats ont montré que plus la dose moyenne de vitamine C prise par jour est élevée, plus le risque de développer une goutte est réduit. L’acide urique, qui résulte de la dégradation des purines, rappelons-le, est responsable non seulement de la goutte mais aussi des calculs rénaux (12). Par manque de preuves scientifiques, il n’est pas encore possible de confirmer cette propriété médicinale. Des essais cliniques plus approfondis doivent être menés pour vérifier la capacité de cette vitamine à traiter la goutte.
Quels sont ses autres bienfaits santé ?
Certains auteurs ont aussi étayé dans leurs publications l’effet inhibiteur de l’ascorbate contre la réplication du VIH Sida. Il manque encore, cependant, de preuves pour prouver réellement cette propriété médicinale. (13)
À des doses allant de 1 000 à 3 000 mg par jour, cette vitamine semblerait également avoir des actions positives sur la pathologie héréditaire neurologique, dite maladie de Charcot-Marie-Tooth. Les résultats des analyses sont fortement encourageants. Cependant, la plupart des essais étaient menés sur des rongeurs. (14)
Bien choisir sa vitamine C
Il convient de bien choisir sa vitamine C pour profiter de tous ses bienfaits. Voici les critères à prendre en compte :
– Forme de la vitamine C
Le marché propose deux types de ce complément alimentaire, dont la vitamine C naturelle ou synthétique (voir cet excellent article). En effet, si leur structure chimique est potentiellement la meme (acide ascorbique), leur mode de fabrication peut différer :
– La vitamine C naturelle est issue d’un procédé d’extraction des plus grandes sources de cette molécule, notamment le camu-camu, l’acérola et le cynorrhodon. Ce supplément a l’avantage d’être bien toléré et plus facile à assimiler par l’organisme, mais est cependant cher. Celui-ci est, en fait, naturellement combiné à d’autres principes actifs qui facilitent son absorption, à savoir les bioflavonoïdes.
– La forme synthétique, par contre, est produite en laboratoires. Cette molécule présente la même structure chimique que la variante naturelle, mais n’est cependant pas accompagnée d’autres substances telles que les flavonoïdes. Ce qui peut influer négativement son absorption. De plus il conviendra de vérifier qu’il s’agit vraiment d’acide-L-ascorbique, et non d’un autre type d’ascorbate (calcium, sodium etc).
– Dosage
Ne pas également oublier de regarder sur la boite du complément alimentaire le dosage réel de vitamine C fourni. Dans la plupart des cas, le fabricant mentionne la quantité en milligrammes ou bien en pourcentage. Il faut savoir que le terme « Acérola 500 », ou « Acérola 1 000 », signifie que le produit fournit 500 ou bien 1 000 mg d’acérola. Mais le dosage réel de la vitamine C dépendra du ratio d’extraction du produit.
Exemple : Un supplément d’acérola BIO 1 000 titré à 17 %, renferme 170 mg de vitamine C naturelle.
– Origine du produit
Les compléments alimentaires ne sont pas tous fabriqués à partir de vitamine C naturelle comme il a été dit. Donc, c’est essentiel de vérifier l’origine du produit, ainsi que tous les principes actifs qu’il contient. Il reste prudent d’opter pour les vitamines C naturelles, certifiées bio. Les produits dépourvus d’additifs chimiques, de pesticides et d’OGM sont à privilégier.
Tous ces critères de sélections vont grandement influer sur la posologie journalière. Quoiqu’il en soit, en raison de son potentiel effet négatif sur les reins, toujours demander un avis d’un médecin si vous souhaitez consommer plus que les AJR (80mg / jour).
Vitamine C : Quelle est la posologie efficace ?
La dose d’acide ascorbique à prendre comme supplément à l’alimentation variera en fonction du type de cure.
– Pour compléter les besoins journaliers en vitamine C, les compléments avec mention 500, tels qu’Acérola 500, suffisent. Un comprimé à sucer ou effervescent par jour est conseillé, pendant 20 jours.
– En cas de fatigue ou pour booster les défenses immunitaires, les compléments proposant des dosages 1 000 à 2 000 sont plus appropriés.
– Pour une cure à visée antioxydante, la posologie recommandée est de 500 à 1 000 mg par jour.
À forte dose, cette vitamine peut causer quelques effets indésirables, tels que nausées, sensation de ballonnement et diarrhée.
Les femmes enceintes et allaitantes, ainsi que les sujets souffrant de calculs rénaux sont tenus de signaler leurs médecins avant tout traitement. Cette molécule peut interférer avec d’autres médicaments et vitamines en augmentant ou diminuant leurs effets. Parmi ceux-ci, il y a la vitamine B12, les pilules contraceptives, les tétracyclines, et la warfarine. Pour prévenir les effets indésirables, demandez l’avis d’un professionnel de santé avant tout traitement. Veuillez noter également que la prise de compléments alimentaires nécessite une surveillance médicale.
Lisez notre guide complet sur la dose journalière idéale de vitamine c à consommer : Quel dosage de vitamine C prendre ?
Références
(1) Natalie C. «Aliments qui renforcent notre système immunitaire», sept 2013.
(2) Dossier: «Acide ascorbique ou vitamine C: Carence». Pharamacorama.
(3) Dossier: «Acide ascorbique», Répertoire BIAM, 2008.
(4) Gester H. «Aucune contribution de l’acide ascorbique sur les calculs rénaux d’oxalate de calcium». Ann Nutr Metab. 1997; 41 (5): 269-82.
(5) Le juge en chef Huck et al. «Etat de la vitamine C et perception de l’effort pendant l’exercice chez l’adulte obèse adhérant à un régime hypocalorique». Nutrition, 2013 Jan; 29 (1): 42-5.
(6) Douglas RM et al. «La vitamine C pour prévenir et traiter le rhume». Base de données Coch Syst Rev, 18 octobre 2004 (4).
(8) Cabanillas F. «Vitamine C et cancer: que pouvons-nous conclure, 1 609 patients et 33 ans plus tard? » P.R Health Sci J, 2010 septembre; 29 (3): 215-7.
(9) Institut de recherche de la clinique Riordan, «Le protocole de Riordan IVC pour le traitement du cancer d’appoint». Février 2013.
(10) Groupe de recherche sur les maladies oculaires liées à l’âge. «Un essai clinique randomisé, contrôlé par placebo, portant sur la supplémentation à haute dose en vitamines C et E, en bêta-carotenz et en zincf contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge et la perte de vision: rapport AREDS no. 8 ». Arch Ophtalmol, octobre 2001; 119 (10): 1417-36.
(11) Simon JA et al. «Relation acide ascorbique / plomb dans le sang». JAMA, 1999 23-30 juin; 281 (24): 2289-93.
(12) Hyon K Choi, MD. DrPH et al. «La consommation de vitamine C et le risque de goutte chez l’homme – Une étude prospective». Arch Intern Med, 2009; 169 (5): 502-507.
(13) Harakeh S et al. «Suppression de la réplication du virus de l’immunodéficience humaine par l’ascorbate dans les cellules infectées de manière chronique ou aiguë». Proc, Natl. Acad. Sci. USA, vol. 87, n ° 18, 1990, p. 7245-9.
(14) Dossier: Essai vitamine C dans la maladie de Charcot-Marue-Tooth: Recrutement réussi des 180 patients. AFM, novembre 2007.